Les dirigeants d’entreprise sont soumis à des règles et des obligations différentes. Ils sont responsables de la bonne gestion des affaires et doivent se conformer aux lois et réglementations en vigueur. Dans certains pays, les dirigeants doivent également respecter les droits fondamentaux des travailleurs, y compris le droit à un salaire décent, le droit au travail sans discrimination, le droit à une protection contre les risques professionnels et le droit à un environnement de travail sûr. Les dirigeants ont également l’obligation de respecter les principes généraux du droit international relatifs aux affaires, tels que la protection des actionnaires minoritaires, la non-discrimination raciale et ethnique et la prévention de la corruption.
Le plus grand défi pour les dirigeants est de concilier ces obligations avec leurs responsabilités en matière de profit et de rentabilité. Les dirigeants doivent veiller à ce que leurs entreprises soient conformes aux lois et réglementations nationales et internationales applicables. Ils sont également responsables d’assurer la bonne marche des entreprises, ce qui peut impliquer l’engagement dans des processus tels que l’adoption de politiques internes ou l’adoption de mesures correctives en cas de violation des normes juridiques.
En outre, les dirigeants ont l’obligation d’assurer que les intérêts des actionnaires soient protégés. Cela implique qu’ils ont l’obligation de divulguer toute information pertinente sur la performance financière de l’entreprise afin que les actionnaires puissent prendre des décisions informées sur la direction à suivre. Les dirigeants sont également responsables, vis-à-vis des actionnaires minoritaires, d’utiliser leurs pouvoirs à bon escient et avec diligence pour protéger leurs intérêts.
Enfin, les dirigeants doivent veiller à ce que leurs entreprises respectent tous les droits fondamentaux reconnus par le droit international relatifs aux affaires – notamment la liberté syndicale, l’absence de discrimination raciale et ethnique et la prévention du travail forcé ou du travail des enfants. Ces droits ne peuvent pas être violés même si cela peut affecter la rentabilité ou les performances financières d’une entreprise.
En conclusion, il est clair que les dirigeants ont une grande responsabilité vis-à-vis non seulement de leur entreprise mais également vis-à-vis du public et du droit international relatif aux affaires. Les dirigeants doivent veiller à ce que leurs entreprises soient conformes aux lois nationales et internationales applicables, qu’ils protègent efficacement les intérêts des actionnaires minoritaires et qu’ils respectent strictement tous les droits fondamentaux reconnus par le droit international relatif aux affaires.